samedi 29 janvier 2011

Journée scolaire de la paix et de la non-violence

La Journée scolaire de la paix et de la non-violence est une activité éducative non-gouvernamentale qui commémore l´anniversaire de la mort du Mahatma Gandhi dans des écoles du monde entier. 
Elle a été fondée par le poète et pacifiste majorquin Llorenç Vidal Vidal en Espagne en 1964 et pratiquée le 30 janvier de chaque année.

Le message fondamental est formulé comme suit: "L'Amour universel, la PAix et la Non-violence. L'Amour universel est supérieur à l'égoïsme; la Paix est supérieure à la guerre et la Non-violence est supérieure à la violence".

Pratiquée par centres éducatifs de tout le monde, elle propose une formation permanente à l'esprit de concorde, de tolérance, de solidarité, de respect des droits de l'homme, de paix et de non-violence.


Paroles de la chanson "Manhattan-Kaboul" interprétée par Zazie et Renaud 

Petit Portoricain
Bien intégré, quasiment New Yorkais,
Dans mon building tout de verre et d'acier,
Je prend mon job, un rail de coke, un café
Petite fille Afghane,
De l'autre côté de la Terre,
Jamais entendu parler de Manhattan,
mon quotidien c'est la misère et la guerre
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes,
mais pourtant pulvérisés sur l'autel
De la violence éternelle
Un 747 s'est explosé dans mes fenêtres,
Mon ciel si bleu est devenu orage,
Lorsque les bombes ont rasé mon village
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes,
mais pourtant pulvérisés sur l'autel
De la violence éternelle



So long, adieu mon rêve américain,
Moi, plus jamais l'esclave des chiens
Ils t'imposaient l'Islam des tyrans
Ceux-là ont-ils jamais lu le Coran ?
J'suis redevenu poussière,
Je s'rai pas maître de l'Univers,
Ce pays que j'aimais tellement serait-il
Finalement colosse aux pieds d'argile ?
Les dieux, les religions,
Les guerres de civilisations,
Les armées, drapeaux, les patries, les nations
Font toujours de nous de la chair à canon
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes,
mais pourtant pulvérisés sur l'autel
De la violence éternelle
Deux étrangers au bout du monde, si différents
Deux inconnus, deux anonymes,
mais pourtant pulvérisés sur l'autel
De la violence éternelle

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